mardi 27 novembre 2012

Le nouveau boyau... du caractère.

Belles conditions d'arrosage ce mardi soir. - 10. L'idéeal c'est -15 bon...on fera pas de chichi. C'qu'il y a de bien à -15 c'est qu'après avoir complété toute la surface, je peux reprendre par le coin où j'ai commencé qui est déjà gelé. Comme ça je peux mettre de l'eau pour deux ou trois "couches". À moins 10, continuer d'arroser après une face c'est prendre une chance de faire de la compote. Comme pour la peinture.

Le dossier nouveau boyau... Il se visse bien après la chante-pleure. Il est d'une longueur appréciable. Mais il est raide. Je me souviens l'avoir acheté, sur son emballage il était écrit "anti-tortillon". Tiens-tiens que j'me suis dit. C'est sûrement la solution à un problème que je n'ai pas encore.

En effet. Il est difficile à enrouler à la température de la maison. Après une heure sur la glace... C'est comme tenter de manoeuvre un Labrador... bandé. C'est fou, ça s'accroche à tout. On sort le boyau juste une fois.

(...)

Le temps est au frimas. Les arbres se givrent au fur et à mesure que passe le brouillard. Je dirais que mon oeuvre au noir est complétée au quart. En quelques endroits, le jupon dépasse encore. Sur presque tout le tour on voit les traces de pas dans la neige qui se glacent peu à peu. La plaine inondée est au pied de Zeus.

Il tombe aussi une neige gênée. Celle que je préfère. Même pas la peine de balayer. Au contraire. Il n'y a pas de vice plus profondément ancré dans ma psychée de rinkmestre que le plaisir de voir l'eau s'étaler. Et on la voit bien mieux en contraste avec une fine pélicule de neige. De quoi rendre le boyau raide.

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